La peine de mort

La peine de mort excite et alimente l’immoralité gauchiste : elle permet de justifier n’importe quoi, car il suffit aux gauchistes de prétendre qu’ils croient en l’innocence du criminel pour rajouter de l’immoralité et de l’agitation dans la société.

C’est un facteur d’agitation qui maintient votre pays dans une forme de shitholisation tout en donnant le bon rôle à la gauche la plus crasse, jusqu’à celle qui posait des bombes.

En cela, la peine de mort est un maillon faible, un archaïsme du temps où la chose publique s’arrogeait le droit de choisir qui a le droit de vivre et qui a le droit de mourir.

Assurer à nos pourritures le droit de vivre n’est pas le problème. C’est une forme de supériorité morale qui trace une frontière objectives entre la pourriture et la justice. Le problème, c’est l’absence d’exil définitif vers une terre sans femme, sans enfant, sans honnête citoyen. Le problème, c’est l’obsession christogauchiste de la rédemption, qui offre en sacrifice toujours plus d’innocents aux « récidivistes » dans l’espoir de permettre à des criminels de « devenir meilleurs » et d’atteindre le paradis.

La criminalité doit être mise à l’écart de la société, mais l’État moderne admet qu’il refuse de détenir le droit de vie ou de mort sur ses citoyens et les êtres humains en général, même pour la bonne cause.

Tous les arguments anti-peine de mort de la gauche et du centre sont à jeter à la poubelle. Seul l’esprit libéral et la volonté d’un État solide, résilient, avec moins d’agitation publique, qui n’a pas besoin de prouver par des spectacles macabres qu’il rend la justice, permet d’avoir de solides arguments contre la peine de mort.

À chaque fois qu’un criminel est d’une certaine origine, nos électeurs gauchistes périurbains d’importation se désolidarisent de lui par un coup de baguette magique en disant simplement « peine de mort ».

La peine de mort donne l’idée d’une réparation parfaite des torts communautaires. On appaise les tensions dans le but du « vivre ensemble ». L’odieuse idée derrière ça se résume à : « je t’apporte 95% des criminels, mais comme je suis favorable à leur exécution, alors j’ai le droit d’habiter chez toi pour toujours en t’en apportant de nouveaux. Si ton pays n’applique pas la peine de mort, alors c’est lui le fautif, c’est un pays faible d’un peuple qui mériterait son remplacement. »

Ouvrons les yeux : les Français qui soutiennent la peine de mort sont de moins en moins français. Préférons une justice qui fonctionne et des peines d’exil définitifs, et à défaut d’emprisonnement à vie impossibles à alléger sauf apparition d’une preuve absolue d’innocence, plutôt que mettre la poussière sous le tapis en coupant quelques têtes symboliquement.

La technologie nous permettra très bientôt d’évacuer les criminels vers des terres jusque là inhabitables, en ne les faisant surveiller que par des robots et des drones autonomes, et les nourrir avec de la matière végétale pour un coût négligeable. Ceux qui se dénoncent d’eux-mêmes à la justice auront le droit de choisir des repas améliorés.

Le meilleur moyen de définitivement vivre avec des arriérés mentaux, c’est d’accepter d’exécuter des peines mortelles qui impressionnent les arriérés mentaux.

Nous avons largement les moyens de nous assurer qu’un criminel ne recommence plus jamais, sans pour autant en faire un nouveau martyr pour la gauche hybristophile et antisociale.