🤓 Les salariés débiles : « On me prend trop d’impôts, le prix de la vie serait le même si on versait 100% du superbrut de la planche à fric magique des banques. »
🤪 Aussi les salariés débiles : « Il y aura une hyperinflation s’il y a un revenu universel de 500 € mensuels. »
Le superbrut ne vous appartient pas. 95 % de la masse monétaire est créée ex nihilo par crédit bancaire, pas par la « productivité » réelle. Les salaires sont massivement adossés à une monnaie créée à la demande. Le salarié est un assisté captif d’un système qu’il ne comprend pas.
La plus gigantesque taxe qu’on paie tous est due à l’inflation directement conséquente de la dilatation perpétuelle des salaires et des retraites de salariés. C’est un mouvement vers le vide dont on ne peut sortir que par l’automatisation et l’abolition de la servitude salariale.
Sur le long terme, l’inflation cumulée (à cause des salaires magiques offerts aux gens en occupant leur temps libre) est bien pire que tous les prélèvements cumulés, y compris les plus visibles comme la TVA, l’impôt sur le revenu ou les cotisations sociales.
De 1950 à 2025, l’inflation a ponctionné 97 % de la valeur monétaire, soit bien plus que toutes les taxes visibles. C’est une taxe invisible qui va directement au néant, sans aller à l’État, injustement accusé d’être le seul préleveur, le seul parasite de l’histoire.
L’État prélève juste des cotisations nécessaires pour continuer à faire créer de l’argent par les banques, c’est une nécessité absolue pour continuer à exister quitte à remplacer sa population pour gonfler sa note. La finalité n’est plus politique, elle est stupidement mécaniste.
L’État est parasitaire parce que les salaires sont de nature parasitaire et épigonophage (le salariat dévore sa descendance). Les pizzas à 50 dollars des villes américaines ne me font pas rêver. C’est un asservissement discret, destructeur de tous les modes de vie authentiques.
Plus les salaires sont déconnectés de ce qu’un individu peut se faire comme argent par lui-même (sans financiarisation), plus la société devient une société d’esclaves mentaux salariés. Parce que le minimum pour juste survivre est de plus en plus élevé.
Tout ça favorise un état d’esprit de dépendance et d’assistanat salarial. Une société de parasites râleurs qui ont le culot de se prendre pour les Atlas du monde moderne alors que la pire taxe qu’on subit est la conséquence direct de leur choix de vie salarial.
Les gens sont des assistés dépendants de salaires produits par les banques via les crédits des entreprises. Plus la taxe invisible de la charge salariale enfle, plus il devient impossible d’être autre chose qu’un putain de salarié. C’est ça le vrai apauvrissement, la vraie chute.
Seul un revenu universel et le licenciement de tous les salariés par les robots et les IA peuvent nous sortir de ce cycle pervers délirant. Et c’est ce vers quoi on se dirige, peu importe que ça plaise ou non aux salariés assistés vénérant leur servitude.